Sur les traces de Bucéphale.
Dossier de presse Mieux connaitre l’expédition
dimanche 3 septembre 2006
Nous sommes à la porte de notre rêve…
Comme beaucoup ont pu le constater, votre webmaster part en voyage. Nos préparatifs pour une grande expédition vers l’Asie centrale se terminent. Rassurez vous ce n’est donc pas une fin pour le site mais une nouvelle orientation, avec des carnets de route et galeries photos, de nombreuses informations pratiques sur les pays que nous découvrirons. Nous allons vous faire vivre dans le détail notre propre expérience au cours de ce périple qui débutera à Marseille le 15 septembre pour prendre fin en 2008 à notre arrivée en Kirghizie, ou nous envisageons de nous installer.
Après un voyage d’une année en 2000 autours du bassin méditerranéen avec Léon, un TRM2000 (http://membres.lycos.fr/mparez/cart…), nombreux sont ceux qui nous posèrent des tas de questions sur comment, ou, combien, avec quoi partir, et vivre une expérience semblable ? Il est difficile de trouver des infos techniques sur la préparation de telles expéditions en francais. Depuis 2002, nous vous avons parlé de la préparation de Bucéphale, un Renault 110/150 11tonnes 4×4, et aussi fait part des informations que nous collectons sur le sujet : Devenir Globetrucker.
Pourquoi ce voyage ?
Dès notre retour du précèdent voyage, nous avions déjà en tête un nouveau projet de vie. Voyager pendant un an est certes très enrichissant et ..agréable, mais nous avons trouvé que pouvoir inclure ce voyage dans un projet de vie à l’étranger pendant dix ans nous apporterai une approche et une compréhension encore plus profonde des gens et pays que nous voulons découvrir. Prendre enfin la route sans contrainte de retour ni de temps, sera notre nouvelle vie. C’est aussi par goût d’une vie nomade, jalonnée de choses simples, comme discuter, trouver de l’eau, se nourrir, apprendre une nouvelle langue que nous repartons. Ne cherchez pas un grand projet derrière tout ces mots, ni développement durable ni humanitaire, il y a de vrais professionnels pour cela. C’est en autofinancement et libre que nous voulions réaliser ce rêve.
Notre attirance pour la Kirghizie a commencée par la lecture de nombreux récits que nous évoquerons plus loin et plus tard, mais surtout en rencontrant René Cagnat, le spécialiste français de l’Asie centrale, et Damira, kirghize vivant en France, sans oublier Dulat Kasimov de l’UNESCO. Si l’étonnement face à notre projet a été leur première réaction, ils nous ont tous confortés dans notre idée et nous les remercions en ces lignes pour leur aide et l’amitié qui en est né.
